1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 04:00


 

 
A sept kilomètres de Paris, dans la Vallée aux Loups, ce magnifique Musée du Bonsaï ouvre ses portes à tous les amateurs.

 

Ce Musée, unique en France, installé dans un parc à la japonaise sur près de 1 000 m² expose en permanence environ 9 000 bonsaï âgés de 6 ans à plus de 300 ans, exceptionnels par leur âge, leur variété, leur floraison ou leur silhouette.

 

Contemplation, origine, histoire et culture du Bonsaï.

 

Bonsaï. Cet art à la consonance asiatique vient de Chine avant de passer par le Japon.

 

L'origine de la culture d'arbres miniaturisés et cultivés en pot remonte au IIIème siècle dans l'Empire du milieu, ils étaient alors appelés "P'en-tsai". On raconte qu'un vieux sage chinois se rendant à un temple en montagne trouva sur son chemin un arbre rabougri, à la silhouette élégante. Délicatement, il retira l'arbre de l'anfractuosité de la roche où il poussait et le transporta soigneusement jusqu'au temple pour l'offrir à Bouddha, après l'avoir mis en pot. Plus tard, sous la dynastie des Song, des annales font référence à un sage qui savait créer dans un seul pot et donc, dans un petit espace, une impression d'immensité.

 

D'abord consacrés aux dieux, les arbres étaient récoltés dans la nature et mis dans des poteries décorées de délicats motifs dans des matières nobles : porcelaine fine ou marbre. Chaque cour des hommes, dans la propriété des Mandarins, possédait son ou ses Bonsaï, souvent en signe de bienvenue et de protection. L'image du Bonsaï a été véhiculée au travers de l'Asie, de la Thaïlande aux Indes, de l'lndochine au Japon. Si les Chinois ont inventé le Bonsaï, les Japonais ont créé l'archétype de l'arbre.

 

Après une période d'abandon pendant la révolution culturelle, l'art du Bonsaï a aujourd'hui repris sa place en Chine. Des communes populaires comme des agriculteurs privés développent la culture des Bonsaï et il n'est pas rare d'en apercevoir dans les rues, devant des habitations ou sur des étals. Des parcs leurs sont mêmes consacrés.
 

 

Lien vers le Musée du Bonsaï

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 03:30

 

 

Votre croisière au Portugal : de Porto à Salamanque

Destination Portugal : Partez en croisière au Portugal à la découverte de la vallée du Douro, classée au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. Le Douro traverse tout le Portugal, d’Est en Ouest. La vallée du Douro, accueille la plus ancienne appellation d’origine contrôlée (pour ses vins de Porto), et offre un paysage séculaire et protégé.

 

De Pinhão à Porto, cette croisière au Portugal est pleine de richesses. Sur le fleuve Douro, la spectaculaire écluse de Carrapatello, réputée la plus haute d’Europe par son dénivelé de 35 mètres. Sur l’autre rive portugaise, de situent les jardins du célèbre Palais Mateus. A l’embouchure du Douro, Porto, la deuxième capitale économique du pays, celle qui a donné son nom au Portugal. Dans les rues de la vieille ville portugaise, c’est autant le passé que le présent qui s’écrit.

 

Une croisière au Portugal dans un cadre unique au milieu d’une nature préservée est sans conteste une destination pleine de charmes.

 

 

DEPAYSEMENT ... En se rendant au Portugal, on éprouve pratiquement toujours la curieuse sensation de se sentir réellement dépaysés tout en se sentant rassuré, car paradoxalement dans un environnement qui nous semble familier. C'est un des contrastes ou des paradoxes du Portugal, parmi tant d'autres que l'on découvrira inévitablement sur place. Pour un séjour cocasse et réussi, pour quelques jours de décontraction ou d'aventure, de découverte et de pur plaisir, autant que pour se reposer, le Portugal captive, et se complaît à satisfaire nos moindres désirs ...

 

Le Portugal : Conjugaison parfaite du DESIR et du PLAISIR. ... Désir et plaisir se conjuguent donc à la perfection au Portugal. Ne cherchez pas à en connaître les raison, car ce pays possède aussi une denrée rare ... un inimitable brin de magie ! En solo, en amoureux, en famille ou entre amis, le Portugal se pliera à vos attentes, et tentera, non pas de vous épater car sa légendaire modestie l'en empêche, mais de donner le meilleur de lui-même pour votre plus grande satisfaction. Vous happerez malgré vous ses couleurs, son harmonie et son rayonnement.



 « Le Portugal »

VALLEE DU DOURO, COIMBRA, LISBONNE, ...

 

du Vendredi 5 au Samedi 13 Juin 2009

9 jours / 8 nuits en pension complète avec boissons

  

Découvrez le patrimoine mondial de l’humanité !

 
 Croisère sur le Douro / Bateau Croisi-Europe – 5 jours :

 

 Porto, une des plus anciennes villes d’Europe, classée au patrimoine mondial de l’Unesco, vieux quartiers encore intacts, dédale de ruelles tortueuses, maisons à arcades, églises superbes, ... Mais c’est aussi le vin de Porto, parmi les chais qui s’étendent à perte de vue sur le Douro, Vila Nova de Gaia, célèbre cave où vieillit lentement ce vin d’exception.

 

 La Vallée du Douro, vous pourrez admirer les fabuleux paysages que nous offre la croisière jusqu’à Regua, écluses de Crestuma et de Carrapatelo, la plus haute d’Europe avec ses 36 mètres, continuation vers Tavora, Ferradossa, Vega de Teron, navigation au cœur des célèbres vignobles … puis Pinhao, Bitetos, … Tout au long du parcours, des paysages sauvages et de défilés rocheux impressionnants.

 

 Les Vins de Porto, la route des vignobles, arrêt au belvédère en plein cœur des vignes, puis dégustation dans une quinta.

 

 Salamanque, classée au patrimoine mondial par l’Unesco, cette ville éblouissante de beauté recèle d’extraordinaires trésors architecturaux romains, arabes et chrétiens.

 

 Vila Real, ville à l’architecture religieuse très variée, un peu plus loin, la plus belle des promenades dans les jardins de Solar de Mateus.

 

 Extension – 4 jours :

 

Coimbra, la ville s’accroche au penchant d’une colline baignée par le Mondego, elle a conservé d’importants témoins de son passé. Cadre romantique, le charme de la première capitale du Portugal, contribue à faire de celle-ci la cité des Arts et des Lettres. L’Ancienne Cathédrale Sé Velha se présente comme une forteresse couronnée de merlons pyramidaux, la Vieille Université dominée par sa haute tour, la Bibliothèque, meublée en bois précieux, somptueusement décorée en bois doré et plafonds peints en trompe-l’œil, …

 

 Lisbonne, sur l’estuaire du Tage, la capitale du Portugal est l’une des villes les plus anciennes d’Europe. Visite du quartier de Belém qui garde le patrimoine architectonique le plus important de la ville, vision panoramique de la Tour de Belém, forteresse bâtie au milieu du Tage, le Monument des Découvertes, représentant une proue de navire, le Monastère des Hyeronimites, considéré comme la pièce maîtresse de l’art Manuélin, il a bénéficie de l’afflux des richesses à Lisbonne.

 

 Découverte du Château S. George, le plus emblématique de la région, c’est ici que tout a commencé, la conquête de Lisboa et celle du reste du pays jusqu’en Algarve, la découverte de nouveaux mondes, la formation de l’Empire, … du haut de cette colline et de ses murailles, on admire le plus beau panorama de Lisbonne.

 

 Lisbonne, visite du quartier d’Alfama, le plus ancien de la capitale, il est le quartier populaire le mieux conservé, un vrai labyrinthe de ruelles tortueuses, coupées d'escaliers ou d'arcs, et se terminant parfois en impasses. Passage par les quartiers du Chiado et du Bairro Alto où vous découvrirez des tavernes, des maisons de fado, … des jeunes gens et des personnes âgées … le Lisbonne typique avec ses vieilles maisons aux façades fraîchement repeintes et aux balcons fleuris, décorés de fer forgé et de panneaux d’azulejos.


Programme détaillé du Voyage au Portugal

Lien CroisiEurope - Visite du BATEAU

Vidéo CroisiEurope Le DOURO

Lien Wikipédia LISBONNE

Lien Wikipédia Portugal




            Guide du Routard – Portugal

 

« Portugal, lorsque l’Atlantique rencontre l’Europe. »

 

Ainsi se présente ce pays du Sud, confluent des éléments terrestres et maritimes aux apparences trompeusement méditerranéennes, alors qu’il ne possède aucune ouverture vers la Mare Nostrum. C’est un fait qu’au Portugal, peut-être plus qu’ailleurs, la terre et l’océan ont forgé une identité particulière, très différente de celle de son voisin espagnol, ce que d’aucuns ont appelé « la singulière spécificité portugaise ». Terre océanique par excellence, happée par la mer, le Portugal y a bâti son histoire et ses mythes, sur lesquels il veille jalousement. Ce petit pays est aussi l’un des plus vieux d’Europe et, de par son destin solitaire, il fut relativement préservé des turbulences politiques qui ont secoué notre continent. Ainsi, il étonne généralement par sa diversité et par la richesse des découvertes qu’on y fait. Exposition universelle en 1998, Coupe d’Europe de football en 2004 … le Portugal ne se laisse pas oublier, et la course aux exigences du traité de Lisbonne n’a pas encore défiguré ses charmes. Le pays tente de trouver une voie originale entre intégration européenne et respect des traditions. Et si les côtes bétonnées de l’Algarve fixent le tourisme de masse, le reste du pays recèle des endroits propres à ravir les curieux que vous êtes. La destination est prisée, non seulement pour son doux soleil océanique et les précieux vestiges de son passé, mais aussi pour l’accueil quasi légendaire (mais tout à fait réel !) de ses habitants. © Christelle Guénot

 

> Douro

Au sud de la région du Minho, le Douro se trouve sur la côte portugaise, le long du fleuve du même nom. Le paysage est unique : les collines sont plantées de vignes en terrasses, richesse de la région. C’est dans le Douro qu’est produit le fameux porto. De très beaux villages s’offrent à la vue au milieu d’oliviers, d’amandiers et de palmiers. A voir : Lamego, Peso da Régua, Porto, Vila do Conde, …

 

> Lisbonne

Campée sur la rive droite de l'estuaire du Tage, la capitale lusitanienne fait figure de porte océane, sentinelle avancée à l'extrémité de l'Europe, veillant sur un monde ancien dont elle a suivi la mutation. Cette position stratégique a été une base idéale dans la conquête maritime du monde dit « nouveau ». Entre l'authentique Alfama, le Bairro Alto branché, le Parc des Nations et la ville du futur, vous tomberez sous le charme. Passant d'une gargote à l'autre, on saute dans le vieux tram jaune 28 qui traverse la ville, on vogue du château Saint-Georges jusqu'au monastère des hiéronymites de Belém, tout en dentelles.


 

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 03:00

 


Partez à la découverte des fontaines et bosquets et de leurs eaux

jaillissantes au rythme de la musique. Plusieurs parcours s'offrent à vous
Quel que soit votre choix, ils permettent à tous d'apprécier nombre
de
chefs d'œuvre du Jardin. Enfin, les flâneurs et les passionnés peuvent

s'égarer dans les endroits les plus secrets du Jardin


 

Au cœur des deux premières décennies du règne, alors que le château n'était qu'en construction, ce sont les jardins qui furent l'objet de toutes les attentions du souverain, les lieux de sa splendeur naissante immédiatement légendaire. Ils furent réalisés sur plus de mille hectares avec les moyens les plus raffinés et les travaux les plus lourds : creusement du grand canal, construction d'imposants réservoirs d'eau, mise en place d'un immense réseau de canalisations destinées à alimenter les fontaines faisant vivre chaque sculpture, chaque bosquet. Les meilleurs fontainiers italiens, les Francine, conçurent ainsi ce qui reste à ce jour le plus somptueux domaine de l'eau façonnée par les arts. Travaillant au plus près des sculpteurs, leurs créations dédiées à une mythologie antique dans laquelle s'inscrit Louis XIV font revivre le char d'Apollon et la tempête furieuse de Neptune, comme les destins tragiques de Latone ou de l'Encelade. Le roi suivit personnellement la création de chaque bosquet, dont il donna le thème, et écrivit même un manuel de visite des jardins de Versailles, véritable curiosité touristique dès l'époque.

 

Dans l'héritage de l'esprit des créateurs de Versailles, il revient à notre époque de faire vivre les arts dans ce domaine d'exception, en donnant une place primordiale aux œuvres qui y furent créées durant deux siècles. Les Grandes Eaux de Versailles, qui jouissent depuis leur création par Louis Le Grand d'un succès jamais démenti, se sont transformées en Grandes Eaux Musicales, permettant de lier en une promenade extraordinaire la beauté des jardins et des fontaines, aux musiques qui les ont habitées. Elles ont fait l'objet d'une rénovation de leur concept sonore, destinée à donner à chaque espace architectural sa propre sensibilité musicale. C'est aux opéras de Lully, Desmarest et Rameau que sont empruntées les ouvertures, chaconnes, danses et passacailles qui fusent de chaque bosquet, de chaque fontaine et redonnent vie à leurs statues de marbre et d'or : de la Colonnade à la Salle de Bal, les Plaisirs de l'Ile Enchantée renaissent à l'infini.

 

Jean-Jacques Aillagon - Président de Château de Versailles Spectacles
 

Lien vers le spectacle des Grandes Eaux Musicales

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 02:30

 

Canal Saint-Martin Rive Est

L’Hôpital Saint-Louis – Paris 10ème

   

 

Chronique exemplaire d'une " Maison de Santé " qui dès sa création sut clairement que sa mission était de répondre aux besoins sanitaires de la population environnante bien avant l'émergence des principes de santé publique.

 

Que ne sait-on déjà de l'histoire de l'hôpital Saint-Louis ? Le contexte de sa création n'est plus un secret pour personne : 68 000 morts à Paris pour la seule épidémie de peste de 1562. Un seul hospice, l'Hôtel-Dieu qui ne suffit plus. Et l'évidence de devoir isoler les malades contagieux.

 

Les terrains de culture en bordure de Paris sont un lieu de choix pour traiter les " empestez " comme on dit à l'époque des pestiférés.

 

Décidé par le roi Henri IV, c'est Claude Vellefaux, " Maître maçon-juré ès œuvres de maçonneries du Roy " qui emporte les suffrages de sa majesté : un quadrilatère de 120 mètres de côté (pour les salles de soins au premier étage, les celliers, les réserves et les magasins au rez-de-chaussée), entouré d'un chemin de ronde et flanqué en ses angles d'énormes pavillons construits en briques et pierres, (pour les offices) ; quatre groupes de bâtiments (les équerres) bordant les chemins de ronde, pour les différentes catégories de personnel et les services généraux ; des terrains de culture limités par un mur d'enceinte et des petits pavillons pour les jardiniers. Au fond : un pavillon royal, le Pavillon Gabrielle. En trois ans, le gros œuvre est achevé, la chapelle, à demie hors de l'hôpital, est construite.

 

Ainsi débute l'histoire de l'hôpital Saint-Louis. Entre ouverture et fermeture de ses portes, elle se poursuit au gré de l'histoire des grandes épidémies, désengorgeant l'Hôtel-Dieu qui constituait alors une véritable mission : une caravane comprenant des chapelains, le personnel hospitalier et les Sœurs de Saint-Landry, les médecins, les apothicaires et les tous les services accessoires, cuisine, buanderie, literies, magasins. Tous enfermés dans l'hôpital Saint-Louis sans aucune communication avec l'extérieur, jusqu'à ce que cesse l'épidémie. Evacué une première fois en 1636, l'hôpital est ré-ouvert pendant la Fronde en 1651. On se battait sous les murs de Paris, l'hôpital Saint-Louis reçut les blessés de la bataille du Faubourg Saint-Antoine. Il fut à nouveau " réquisitionné " en 1670, 1693, 1709, 1729, 1754, jusqu'à l'incendie de l'Hôtel-Dieu en 1773 qui signa l'ouverture définitive de l'hôpital Saint-Louis.

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 02:00


 

[MONTFERMEIL 

SON & LUMIERE

Grand Spectacle parrainé

par Alain DECAUX

 

 

Depuis leur parution en 1862, « Les Misérables » est l’œuvre la plus célèbre et la plus lue de Victor Hugo. Plus d’un siècle et demi plus tard, au cœur du parc du Château des Cèdres, ce sont 350 figurants qui revisitent sur les planches le texte du célèbre auteur.

 

Spectacle nocturne « son et lumière » d’après l’œuvre de Victor Hugo, adaptation théâtralisée et mise en scène par Jean-Jacques LECORRE et Glenn MATHER. Spectacle placé sous le haut parrainage d’Alain Decaux, de l’Académie française avec la voix de Gérard Berliner.

 

Depuis 13 ans maintenant, la Ville produit un spectacle nocturne. Cette formidable aventure humaine et culturelle a pris, en 2007, un nouveau visage. C’est en effet, l’œuvre des « Misérables », monument de la littérature française relatant une page de notre histoire, qui a été adaptée et s’est jouée à guichets fermés. C’est tout naturellement que Montfermeil retrouve ces personnages dans le roman de Victor Hugo sous forme théâtralisée : la petite Cosette qui fut placée chez les Thénardier et sa bouleversante rencontre avec Jean Valjean, aux abords d’une fontaine, retrouvée en contrebas de l’actuel parc Arboretum. Le Château des Cèdres accueille ce spectacle sur les hauteurs du parc Arboretum, où 350 figurants en costumes provenant de l’Opéra de Varsovie vous proposent de vivre un moment inoubliable. En juin, venez à Montfermeil et assistez au spectacle !

 

A pied, à cheval ... 600 personnages ...

pour un son et lumière extraordinaire à 15 kms de Paris !

 

Le temps des représentations, ils seront cavaliers, chanteurs, danseurs, figurants, accessoiristes, hôtesses d’accueil ou membres de la sécurité. 400 bénévoles unissent leurs talents pour faire revivre Les Misérables. Unique son et lumière de Seine-Saint-Denis, le spectacle de Montfermeil sert de lien historique et contribue à favoriser le lien social ... Les plus jeunes sont des enfants et les plus âgés des retraités. A tour de rôle, ils interprètent de nombreux personnages. Ce spectacle est le leur. En 1995, ils allaient enthousiastes vers l’inconnu. Treize ans plus tard, des équipes se sont formées, associées à des professionnels, et utilisent des équipements techniques de première qualité. Le spectacle s’est professionnalisé, amélioré d’année en année, une réussite collective.

 

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 01:30
 
 
 

Doyenne des stations balnéaires française,

premier port de pêche pour la Coquille Saint Jacques,

Dieppe cultive le charme et la douceur de vivre.

Ici, la vie a du goût, les marchés sont généreux et les fêtes gourmandes.

Venez renouer avec la tradition du plaisir.

 

Histoire de Dieppe. Née sur l'estuaire de «La Deep», Dieppe doit son essor à la conquête de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant, duc de Normandie, en 1066. Les échanges entre les deux pays, réunis sous le même sceptre, y favorisent le développement d'un port de commerce et de pêche. La cité de Jehan Ango. Au XVIe siècle, Dieppe est le premier port de Normandie. Les nefs de l'armateur Jehan Ango, ami de François Ier, abordent au Brésil, en Afrique, pénètrent dans l'océan indien, … La « course » enrichit la ville qui atteint une prospérité jamais retrouvée. Au XVIIe siècle, c'est de Dieppe que partent colons et missionnaires pour le Canada.

 

La « Reconstruction ». Les maisons sont alors construites à pans de bois au-dessus d'un soubassement en silex. Elles seront détruites dans l'incendie déclenché en 1694 par le bombardement de la flotte anglo-hollandaise. C'est une ville classique aux façades de briques blanches qui est reconstruite sur ordre du roi Louis XIV, par un ingénieur de Vauban. A découvrir : les cours aux escaliers extérieurs en bois, la Restauration de l'îlot Sainte-Catherine primée par le ministère de l'habitat et de l'urbanisme (1985), les balcons en fer forgé.

 

La Reine des Galets. Dès 1823, sous l'impulsion de la duchesse de Berry, le goût pour « les bains de mer » attire l'aristocratie internationale. Peintres, musiciens, hommes de lettres découvrent Dieppe, la mer et la lumière normande. Les remparts sont démolis (sauf « Les Tourelles » alors prison). Un théâtre à l'italienne, classé en 1992, est offert en 1827 à la duchesse de Berry. La vocation touristique de Dieppe est née.

 

L'église Saint-Jacques. La construction de l'église, sur la route du Pèlerinage de Compostelle, débute vers 1168, sous Henri II Plantagenêt. Incendiée, achevée au XIVe siècle, puis embellie d'un fin décor Renaissance. A remarquer : le mur des « sauvages » (frise représentant les personnages des contrées visitées par les nefs de Jehan Ango), les impressionnantes clés pendantes du chœur, les graffiti (ex-voto gravés par les marins des périlleuses expéditions). L'église Saint-Rémy. A l'époque romane, une église Saint-Rémy s'élevait à flanc de coteau, à l'ouest de la ville. Une seconde église sera érigée sur un nouvel emplacement dès 1522. A remarquer : les orgues du XVIIIe siècle et les vitraux du XIXe siècle, provenant des ateliers de Sèvres et de Lusson.

 

De la forteresse ... au musée. Dominant la ville à laquelle le reliaient les remparts, le château dresse son austère silhouette, de silex et de grès, sur une terrasse naturelle. Quatre tours (XVe siècle) reliées par des courtines englobent la tour ouest (XIVe siècle). L'enceinte s'agrandit au XVIe puis au XVIIe siècle, incorporant le clocher de l'ancienne église Saint-Rémy. Prison à la Révolution, caserne au XIXe siècle, le château est racheté par la ville en 1902 pour être transformé en musée. A découvrir : la plus remarquable collection d'ivoires d'Europe. (Dès le XVIe siècle, l'ivoire débarqué à Dieppe est sculpté sur place.)

 


Office de Tourisme de Dieppe

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 01:00


Croisière


« SEINE & CANAL SAINT-DENIS » 
]

Tout commence sur la Seine, voilà le Paris des Musées et des Expositions : Le Louvre, le Pont Alexandre III, le Petit et le Grand Palais, … Puis le Paris Economique : les grandes entreprises, les tours de La Défense, le port, …

 

Entre le Musée d’Orsay et le Stade de France, au fil de la Seine et du Canal Saint Denis, ou inversement.

 

Vous embarquez au pied du Musée d’Orsay. Le bateau descend la Seine et vous emmène à la découverte de l’Ouest Parisien ...

 

Voilà le Jardin des Tuileries, le Musée d’Art Moderne, le Palais de Chaillot puis la Tour Eiffel qui domine tout cet ensemble ...

 

Après l’île aux Cygnes et les Tours du Front de Seine, c’est le début du “Boulevard de la Communication” : les bâtiments de la Maison de la Radio, TF1, Canal +, France Télévision, ... défilent devant vos yeux.

 

Passé le pont de Sèvres, on aperçoit le Musée de la Céramique, le Parc de Sèvres, les Jardins Albert Kahn, le Bois de Boulogne avant de franchir l’impressionnante écluse de Suresnes.

 

Entre les îles de Puteaux et de la Grande Jatte se dressent les Tours de la Défense, de l’eau elles paraissent encore plus grandes.

 

Le bateau longe Courbevoie, Levallois, Asnières et son célèbre cimetière des chiens, le Port Sisley ...

 

Après le franchissement d’écluses sur le canal Saint Denis, la croisière se termine à proximité du Stade de France qui résonne encore des clameurs enthousiastes des spectateurs de la Coupe du Monde 1998 !

1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 22:00
 

http://idata.over-blog.com/5/28/28/37/Forum-Association-2014.jpgA la rentrée, venez rencontrer les diverses associations sportives, culturelles ou d’entraide de Montesson. Que ce soit pour dialoguer, vous inscrire ou découvrir de nouvelles activités. Rendez-vous dans le Parc  des Sophoras où les représentants des associations seront heureux de vous faire découvrir et partager leurs passions. Différentes animations seront proposées tout au long de la journée.

 

 

L'association Sorties Pour Tous  sera présente et se fera un plaisir de vous accueillir sur son Stand.

 

Présentation de l’Association et des Sorties à venir.

 

ADHESIONS – ENVELOPPES – INSCRIPTIONS

 

Ce sera aussi le moment et I’occasion de :

- faire vos ADHESIONS annuelles pour 2014/2015,

- nous remettre vos 3 nouvelles ENVELOPPES (16x23) timbrées (1,20 €) à vos noms et adresses,

- nous donner vos nouvelles INSCRIPTIONS aux sorties.

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