Le Bonheur des Dames
D’après le roman d’Émile Zola « Au Bonheur des Dames »
Adaptation et mise en scène de Florence Camoin
Avec Olivia Demorge, Alexis Moncorgé, Olivier Hermel, Laurent Feuillebois, Caroline Darnay, Claire Faurot, Xavier Girard, Anna Strelva, Sarah Bloch, Sylvie Guermont, Alain Laurence, Pierre-Marie Delangaigne.
Création vidéo : Christrophe Guillermet / Création lumières et photos : Anne Gayan / Costumes : Elisabeth de Sauverzac / Décors : Philippe Blanc
Dans ce roman, Émile Zola met en avant un moment fort de l’histoire : la confrontation entre profit et humanisme. L’ouverture des grands magasins va provoquer un bouleversement social en permettant l’émancipation des femmes, à travers le travail ou la gestion d’un budget mais aussi la mise en place de mesures telles que les congés payés, les promotions de carrière, les caisses de retraite pour les employés …
À travers le « froufroutement » des robes et l’agitation des grands magasins, 12 comédiens sur scène nous plongent dans un univers empli de crinolines, grâce à de magnifiques costumes retraçant l’univers de l’époque. La mise en scène est moderne, utilisant la vidéo afin de rendre compte du mouvement fort et continu de l’essor d’un grand magasin. Une chanteuse lyrique, de l’accordéon, des chansons et des touches d’Offenbach complètent la magie du spectacle. L’enchaînement des scènes, la liberté avec laquelle on passe d’un lieu à l’autre, sont d’une grande clarté, d’une grande fluidité.
Florence Camoin à déjà réuni plusieurs milliers de spectateurs avec son adaptation du Bonheur des Dames, qui vient d’ailleurs d’être repris à Paris, au Vingtième Théâtre.
Presse. « J’ai beaucoup aimé suivre ta vision d’Au Bonheur des Dames. Aujourd’hui, le récit de Zola nous raconte beaucoup de choses qui nous concernent. Et tu as fait une superproduction ! Ton adaptation, l’enchaînement des scènes, la liberté avec laquelle on passe d’un lieu à l’autre, sont d’une grande clarté, d’une grande fluidité. Tu as obtenu de tes acteurs qu’ils soient évidents, limpides dans la seconde, ce qui est très important quand les scènes passent vite pour que soit conservée la trame, la structure du roman. Le public a été captivé ! » / Gilles Costaz, critique théâtre (Politis, Paris Match, …) - « Plus vrai que nature ! » / La Théâtrothèque