1 janvier 2015
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17:00
En 1984, Décembre vole un sac dans le métro. Dans le sac, il trouve la photo d’Avril Jolie. Il la rappelle, ils se rencontrent dans un café. Il va lui raconter l’histoire de Jean-Eugène Robert-Houdin, horloger, inventeur, magicien du 19ème siècle.
Cette histoire les mènera tous deux sous le coffre de la BNP du Boulevard des Italiens, dans le théâtre disparu de Robert-Houdin, devant la roulotte d’un escamoteur, derrière les circuits du Turc mécanique, aux prémices du kinétographe, et à travers le cercle des illusionnistes.
C’est un spectacle tout public sur le thème de l’illusion et du rêve, qui entremêle les destins de Jean Eugène Robert-Houdin, créateur de la magie moderne, et de Georges Méliès, inventeur génial du cinéma fiction.
Le spectacle vous entrainera à la rencontre de Catherine II de Russie, mais aussi d’un escamoteur, un cul-de-jatte joueur d’échecs, un pickpocket amoureux …
Molières 2014 : Meilleure Mise en Scène – Meilleur Auteur – Révélation Féminine pour Jeanne Arènes.
« À travers un récit diablement cinématographique, tout en surprises et suspense, aventures et amours, Alexis Michalik créé un spectacle redoutablement intelligent, drôle et instructif, et surtout trépidant. Avec Le Cercle des Illusionnistes, il nous entraîne aux origines du 7ème art et rend hommage à ces magiciens passionnés qui ont consacré leur vie à inventer des machines à rêver. Et c’est tout simplement merveilleux. » Le Pariscope
Avec Le Cercle des Illusionnistes, Alexis Michalik signe sa deuxième pièce et réussit son plus grand défi, faire aussi bien, voire mieux, que Le Porteur d’Histoire.
Avec sa nouvelle histoire abracadabrantesque, Le Cercle des Illusionnistes, il fait frétiller les yeux. C’est une magnifique mise en abîme d’histoire, de jeu, d’art. Histoire dans l’histoire dans l’histoire dans l’histoire pour revenir finalement à la première histoire. Quelques faits historiques par-ci, quelques faits divers par là, mis surtout beaucoup beaucoup beaucoup d’imagination. L’imaginaire de Michalik est un puis sans fond, qui ne nous laisse pas le temps d’utiliser le notre. Et ce n’est pas plus mal, comme ça on se fatigue moins, on se laisse porter, et on croit rêver. Oui, un très beau rêve, totalement farfelu, mais si bien construit que ce n’est qu’à la fin (au moment où généralement le réveil sonne) que le dénouement arrive et que l’on comprend tout. Si ce n’est pas merveilleux ça !