1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 17:40
1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 11:00

 

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 10:30

 

« Même si l’habit ne fait pas le moine, celui du Père Supérieur et de ses ravissantes Sœurs au service vous plonge dans l’ambiance festive et bon enfant de cette abbaye. »

 

« Un rapport qualité/prix indiscutable, de par les menus et le spectacle, il emballe le public par sa générosité et son humour. »

 

« Si toutes les abbayes étaient de ce type, nous serions plus nombreux à porter la soutane ! »

 

L’étape parisienne INDISPENSABLE
 à tout BOUT-EN-TRAIN

 

ROTISSERIE DE L’ABBAYE
pour tout public, plaisir et facéties, à Saint-Germain-des-Près
  

Lien vers le site de la Rôtisserie de l'Abbaye

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 10:00

 

 


L'Opéra de Quat'Sous

 

La plus célèbre collaboration de Kurt Weill et Bertolt Brecht.

 

D’un accès plutôt aisé et contenant des chansons devenues célèbres dont Mack the Knife. L’Opéra de Quat’Sous trouve sa place aussi bien à l’opéra qu’au théâtre. En effet, il réserve une place de choix aux « tempéraments » sans nécessiter forcément une belle voix, une vraie présence fait tout.

 

Synopsis

Mackie le surineur est un truand. C’est aussi un grand séducteur. Polly a succombé à son charme et l’a épousé. Mais le père de la mariée, Peachum, un loueur de costumes de mendiants, est mécontent et dénonce Mackie à la police. … … …

 

Le thème

L’Opéra de Quat’sous est une satire sociale et une charge contre le capitalisme : la justice et la morale sont bafouées, le héros est un truand, le chef de la Police assiste à son mariage. Le beau-père est également un escroc. Bref, la corruption règne dans un milieu animé par l’appât du gain. La satire tire sa force de la sympathie suscitée par Mackie, un personnage attachant évoluant au milieu de gens répugnants. Même l’autorité royale est moquée à travers la grâce de la dernière minute. On reconnaît la griffe du librettiste Bertolt Brecht aux sympathies communistes affirmées. Le jeune musicien a suivi avec un enthousiasme juvénile et une musique jazzy plus sophistiquée que les apparences ne la laissent paraître.

Lien Wikipédia - "Opéra de Quat'Sous"

Lien "Regard en coulisse"

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 09:30


 

LA GRANDE SYMPHONIE DE BREL

 

Véritable légende de la chanson francophone, Jacques Brel nous a quittés il y a 30 ans, laissant derrière lui des chansons inoubliables et le souvenir brûlant d'un homme entier, passionné de mots et de musique.

 

Concert avec 400 Choristes et Orchestre !

 

Jean-Claude Oudot et son équipe artistique vous proposent de redécouvrir l'œuvre et l'univers du poète populaire à travers des harmonisations originales et des orchestrations inédites sous la direction d'Alberto Visentin.

 

Un superbe voyage au pays de l'enfance et du courage, de l'amour et de la révolte, de la vieillesse et de la vie.

 

30 ans après sa disparition … personne n’a oublié le grand JACQUES BREL, ses chansons mythiques, l’alchimie grandiose de ses textes, et la puissance énorme dégagée par chacune de ses interprétations.

 

Cette puissance ... nous la retrouvons intacte dans les voix magiques des CHOEURS DE FRANCE ... avec ses choristes sur scène, les Chœurs de France sont un PEUPLE QUI CHANTE ... un peuple toujours orphelin de Brel, poète et chanteur populaire ... Les CHOEURS DE FRANCE confèrent à Brel, 30 ans après sa mort, une tonalité grandiose.

 

"LA GRANDE SYMPHONIE DE BREL" est un formidable hommage au chanteur disparu qui sera donné par les choristes et un orchestre, dont un quatuor à cordes. Vous pourrez ainsi retrouver tout l’univers de Brel. Univers de l’enfance dont il fait référence dans ses chansons ("… mon enfance passa, de grisaille en grisaille ... de fausse révérence, en manque de bataille ..."). Univers poétique pour nous chanter l’amour, l’amitié ... la vie et la mort ... Univers de révolte et de héros blessé. Les CHOEURS DE FRANCE nous révèlent, grâce à sa diction, son plaisir de chanter et ses voix chaudes et vibrantes, le verbe si particulier qui habite les textes de Brel ... "La quête", "Le plat pays", "L’aventure", "Amsterdam", "Vesoul", "Les Marquises" ... et tant d’autres voyages dans le temps et l’espace ... "Les Flamandes", "Les bourgeois", "Le moribond", "Les vieux", "Jef", "Mathilde" ... et tout un monde de personnages étonnants. Les choristes redécouvrent encore et en chœur toute une vie étonnamment actuelle.


Lien vers le site du "Choeur de France PARIS"

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 09:00

 


 

L’AVARE de Molière

mis en scène par Nicolas Liautard 

 

Un père avare, s’oppose aux projets de mariage de ses enfants. Il a choisi pour eux des partis plus lucratifs et se réserve, pour lui-même, l’amante de son fils.

 

Dans un décor sommaire, Nicolas Liautard nous présente la célèbre pièce de Molière. Naviguant entre farce, drame et comédie, la mise en scène est propre à rendre le génie comique de Molière : traiter avec des procédés de farce un sujet apparemment innocent mais dans lequel sommeille un drame terrible.

 

Un avare plus parlant que jamais au XXIe siècle dans cette mise en scène moderne.


 

- Mise en scène : Nicolas Liautard

- Distribution : Jean Pol Dubois, Jean-Yves Broustail, Eddie Chignara, Nelly Froissart, Lazare Herson-Macarel, Wolfgang Kleinertz, Nicolas Liautard, Célia Rosich, Stanislas Stanic, Marion Suzanne

- Coproduction : La Nouvelle Compagnie, La Ferme de Bel Ebat, Le Prisme, La Scène Watteau Théâtre de Nogent sur Marne


Lien Wikipédia - "L'Avare"

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 08:30


« très chère Mathilde »

d'Israël HOROVITZ

 

avec

LINE RENAUD

Samuel LABARTHE – Raphaëline GOUPILLEAU

mise en scène de Ladislas CHOLLAT

 

 

Mathias, new-yorkais bientôt cinquantenaire, totalement fauché et un peu désabusé, arrive à Paris pour vendre au plus vite l'unique bien que son père lui a laissé en héritage : un magnifique et immense appartement. En y entrant, il tombe nez à nez avec Mathilde, élégante vieille dame qui vit avec sa fille Chloé. Mathias découvre alors que l'appartement est en viager et que son héritage ne sera pas facile à obtenir ...

 

Tout bascule. La vie des 2 femmes va changer radicalement au fur et à mesure que les secrets de famille seront dévoilés.

 

« très chère Mathilde » est une œuvre dramatique à la fois drôle, passionnante et émouvante où les thèmes de la compassion, du pardon et du deuil se marient de main de maître.

 

Line Renaud est une de ces stars qui semblent avoir toujours été là. Soixante-cinq années l’ont fait entrer dans tous les cœurs. Mais, si aujourd’hui on regarde son parcours avec tant d’admiration c’est aussi qu’il ressemble à un conte de fée comme il en existe peu.

 

« C’est Israël Horovitz qui a parlé de mon travail à Line Renaud. Je venais de mettre en scène "Trois semaines après le paradis" sa dernière pièce. Je me souviens de ses questions précises et pertinentes sur ma façon de travailler, la manière dont je voyais la pièce et le personnage de Mathilde. Elle a tenu absolument à voir ma dernière mise en scène au théâtre d’Amiens. A la sortie du spectacle elle a eu des mots merveilleux : "Je sais que vous pouvez m’amener là où je ne suis pas encore allée, que vous allez faire sortir de moi des couleurs et des émotions nouvelles que le public ne me connaît pas encore". Ces phrases résument l’exigence et la rigueur de cette grande comédienne qui aime se lancer des challenges et prendre des risques. Line a le sens du travail d’équipe avec ses excellents partenaires Raphaëline Goupilleau et Samuel Labarthe. Quel cadeau pour le metteur en scène que je suis de la confiance qu’elle me donne. » Ladislas Chollat

 

 

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" la presse en parle ... " - Le Parisien 18/11/2008

Théâtre - Line Renaud sur scène en janvier

 

« LA FACILITÉ serait de rester dans mon fauteuil ... Mais j'adore prendre des risques. » Line Renaud est excitée comme une débutante. A partir du 28 janvier, elle montera sur la scène du Théâtre Marigny (Paris VIII) dans une pièce d'Israël Horovitz encore jamais jouée en France :  « Très Chère Mathilde ». La comédienne, qui a joyeusement fêté ses 80 étés en juillet dernier, y jouera aux côtés de Samuel Labarthe et de Raphaëline Goupilleau. « C'est l'histoire d'un homme qui a tout raté dans sa vie alors que son père avait tout réussi, résume Ladislas Chollat, le metteur en scène. Cet homme hérite d'un appartement à Paris et, quand il arrive, il découvre qu'une vieille dame y vit avec sa fille. Ils vont devoir cohabiter ... » Line Renaud aime déjà Mathilde : « Elle est maligne, elle triche sur son âge, c'est une vraie roublarde ! ». C'est l'auteur américain lui-même, très amoureux de la France, qui a proposé la pièce à la comédienne, en même temps qu'il lui suggérait le nom de Ladislas Chollat pour la mise en scène. « Je suis allée voir Ladislas dans une autre pièce d'Horovitz, se souvient Line Renaud. Il m'a beaucoup touchée. Il a toujours travaillé pour le théâtre subventionné. J'ai très à coeur de le faire venir dans le privé pour faire le lien. » (…) Caroline Andrie
 

Figaro - Critique et Interview de Line Renaud
 

Lien - Théâtre Marigny : autres critiques et dossier de presse
 

Lien Wikipédia - Line Renaud
 

Lien Wikipédia - Samuel Labarthe

 

Lien Wikipédia - Raphaëline Goupilleau

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 08:00

 

 LE PANTHEON

  

 

Monument National à la Mémoire des Hommes Illustres

Sur la montagne Sainte-Geneviève, dans le 5e arrondissement de Paris, au cœur du quartier latin.

La rue Soufflot lui dessine une perspective à partir du jardin du Luxembourg.

 

 

http://idata.over-blog.com/3/99/56/40/Le-Pantheon-Bandeau.JPG

 

 

Jacques-Germain Soufflot, lorsqu’il érigea cet édifice qui est un véritable manifeste du style néo-classique, répondit au vœu de Louis XV de glorifier dignement la monarchie en la personne de Sainte Geneviève, patronne de Paris, à laquelle fut dédié le monument. Laïcisé en 1791, il devint Panthéon national. Durant le 19ème siècle, il reçut, au gré des régimes politiques, une affectation tantôt religieuse, tantôt patriotique. La Troisième République en fit un édifice consacré à la mémoire des hommes illustres à l’occasion des funérailles nationales de Victor Hugo qui y fut inhumé en 1885.

 

Ses différentes destinations successives, sa décoration, les inscriptions et les symboles qui y figurent, permettent de parcourir la construction — lente et contrastée — de la nation française.

 

Le Panthéon est un bâtiment long de 110 mètres et large de 84 mètres. La façade principale est décorée d’un portique aux colonnes corinthiennes, surmonté d’un fronton triangulaire. Il représente la République, au centre, donnant la Liberté et protégeant à sa gauche les Sciences, représentées par de nombreux grands savants, philosophes, écrivains et artistes - et à sa droite l'Histoire, représentée par des grands personnages de l'État. L'édifice, en forme de croix grecque, est couronné par un dôme haut de 83 mètres, coiffé d’un lanterneau. L’intérieur est décoré par des peintres académiques.

 

Le projet architectural de Jacques-Germain Soufflot est une église à dôme, en forme de croix grecque, c'est-à-dire avec quatre branches courtes, égales en longueur et en largeur. Pour le réaliser, il emprunte à différents styles architecturaux, ce qui fera écrire à Maximilien Brébion : « Le principal objet de M. Soufflot, en bâtissant son église, a été de réunir, sous une des plus belles formes, la légèreté de la construction des édifices gothiques avec la magnificence de l'architecture grecque. ». Un élément essentiel de la construction reste invisible aux yeux du visiteur : la triple coupole. Alors que l'on pourrait penser qu'une seule coupole soutient le lanterneau et la croix à son sommet, en réalité, trois coupoles sont emboîtées les unes dans les autres. La crypte couvre toute la surface de l'édifice, elle est constituée de quatre galeries, chacune sous chacun des bras de la nef. Cependant, elle n'est pas véritablement enterrée comme une cave puisque des fenêtres, en haut de chaque galerie, sont ouvertes sur l'extérieur. On pénètre dans la crypte par une salle décorée de colonnes doriques. En avançant, on découvre ensuite, au centre du bâtiment, la vaste salle voûtée de forme circulaire et la petite pièce centrale, située juste au centre du dôme. On peut s'interroger sur les dimensions de la crypte qui paraît incroyablement vaste. Les 73 hôtes actuels ne sont pas à l'étroit puisque la capacité totale d'accueil est d'environ 300 places. Une des hypothèses émises pour expliquer cela serait que Louis XV voulait en faire un mausolée pour les Bourbon.

 

On recense 76 personnalités dont le gouvernement au pouvoir a décidé la "panthéonisation". Plusieurs d'entre eux, après avoir été admis en ont ensuite été retirés. Aujourd'hui la France honore donc 65 des siens par des tombes ou urnes funéraires. Il faut ajouter trois tombes placées ici pour des raisons particulières : l’architecte, un père et une épouse. 



Lien Wikipédia - Le Panthéon 

Lien Parisrama - Le Panthéon

1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 07:30

 

SUCCES !

A l´affiche jusqu´au 4 janvier au Théâtre du Gymnase, JE M´VOYAIS DÉJÀ va poursuivre sa belle aventure dans un autre superbe théâtre parisien, dont le nom sera donné dans quelques jours ...

 

 

Une comédie musicale qui nous permet de revisiter le répertoire de Charles AZNAVOUR, mais qui ne raconte pas pour autant la vie de Charles AZNAVOUR.

 

L´histoire ? Comme Charles Aznavour à ses débuts, six jeunes artistes, rejetés une énième fois d'un casting sans qu'on leur dise pourquoi, décident eux aussi de se battre, avec l'aide d'une chanteuse un peu oubliée, rêvant d'une seconde chance. Elle va devenir leur prof, conseillère et amie, cette prof c’est DIANE TELL. Emmenés par elle, les six jeunes cherchent la bonne idée de spectacle qui pourrait les réunir. Et pourquoi pas une comédie musicale ayant pour base les chansons d´AZNAVOUR ? Dans la grande tradition de "Chorus Line", "J'me voyais déjà" est une comédie musicale qui raconte... la création d'une comédie musicale.

 

Par ce principe, on utilise les chansons d´AZNAVOUR, soit parce qu´elles appartiennent à « la comédie musicale dans la comédie musicale » : viens voir les comédiens, tu t´laisses aller, emmenez moi, les deux guitares, retiens la nuit, j´aime Paris au mois de Mai, la Mamma ... soit parce qu´elles seront un élément biographique de la vie de chacun des jeunes artistes qui se raconteront en chansons : la bohême, je m´voyais déjà, comme ils disent, sa jeunesse, tout s´en va ... soit parce qu´elles serviront dans l´histoire les relations qui vont se nouer entre eux et leur évolution : viens pleurer au creux de mon épaule, la critique, la plus belle pour aller danser, quand tu m´embrasses, je t´aime A I M E ... Le troisième acte est l´apothéose du spectacle, puisque c’est le spectacle, concrétisation des deux actes précédents.

 

L´idée est que la comédie musicale alterne entre des dialogues drôles et percutants et l´émotion suscitée par les chansons de Charles AZNAVOUR. Sont choisis dans le répertoire de Charles AZNAVOUR des titres incontournables mais aussi des chansons moins connues, sans oublier celles qu´il a écrites ou composées pour d´autres comme BECAUD, PIAF, HALLIDAY, VARTAN ...

 

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