1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 19:55

 

Théâtre de Saint-Germain-en-Laye

 

 

Les 39 Marches

 

 

de John Buchan et Alfred Hitchcock 

adaptation française Gérald Sibleyras - mise en scène Eric Métayer

décors Nils Zachariasen - costumes Monika Mucha

lumières Philippe Quilliet - son Vincent Lustaud

 

avec Eric Métayer, Jean-Philippe Bèche,

Andrea Bescond, Christophe Laubion

 

 

Pièce nommée 4 fois aux Molières 2010. Les 39 Marches Molière de la pièce comique. Gérald Sibleyras Molière de l’adaptateur.

 

Quatre comédiens interprètent plus de 150 personnages et restituent avec loufoquerie l’univers d’Alfred Hitchcock : Londres 1935, la lande écossaise, des cascades, des poursuites de voitures, une histoire d’amour, espionnage et suspens … Richard Hann, 37 ans, un canadien dont la tranquillité va être bousculée par l’intrusion d’une certaine Mrs Smith, se présentant comme un agent des services secrets, poursuivie par des tueurs. Rapidement poignardée dans le fauteuil club de son « hôte » notre homme immédiatement suspecté est pris en chasse par des policiers et se retrouve dans la tourmente.

 

Pariscope : « Ce spectacle est une pure folie, un petit chef-d’oeuvre de loufoquerie. « Les 39 marches » c’est un film, en se l’appropriant, le théâtre nous en livre une version en technicolor et en relief ! »

 

 

Lien Wikipédia - Alex Métayer

 

 

Lien Wikipédia - Alfred Hitchcock

    

Bande-annonce "Les 39 Marches"

 

1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 19:50

 

Théâtre de Saint-Germain-en-Laye

 

Anne Roumanoff

Bien plus que vingt ans

 

Anne Roumanoff revient à Saint-Germain-en-Laye pour satisfaire tous ceux qui n’avaient pu se procurer une place en Mars 2010. La sociologue du quotidien s’est subrepticement muée en moraliste des années 2000. Cette ère dont l’imaginaire riant camoufle de plus en plus mal un réel plutôt flippant. Cette époque toute bizarre où chacun est invité à se prétendre libre d’être lui-même dans sa tête, mais qui dans les faits n’a jamais autant croulé sous les injonctions absurdes : soit cool et performant ! Bio mais connecté ! Citoyen très concerné mais voyeuriste ! Autant de diktats qu’Anne Roumanoff, s’entend à tourner en dérision, avec une aisance burlesque.

 

« La malicieuse femme en rouge porte un regard encore plus acéré sur la société française en pleine mutation. Elle n’épargne rien, ni personne. Le grand succès du moment. »

 

 

     

 

 

“ De Gaulle, on savait jamais ce qu’il allait faire. Mitterrand, on savait jamais ce qu’il pensait. Chirac, on savait pas toujours ce qu’il faisait. Sarkozy, il dit ce qu’il pense, il fait ce qu’il dit, des fois on aimerait juste qu’il se taise. ” (Radio Bistrot) “ Vous savez comment m’appelle mon chirurgien ? Son appartement témoin. Avec ce que je lui ai laissé, il pourrait m’appeler sa résidence secondaire. ” (La femme refaite) “ J’aime bien le slogan d’Obama “yes, we can” que nous en France c’est “non, on peut pas”. ” (Radio Bistrot) " Yaourt aux fruits, abricot 2,1%. Pour manger un abricot entier, faut que tu manges 600 yaourts. (Le supermarché) " J’ai pas voulu me faire incinérer, quand je vois ce qui est arrivé à ma belle-sœur. Elle devait disperser les cendres de son mari dans la mer, il y a eu un coup de vent, elle a tout pris dans la figure. Elle a dit "il m’aura fait chier jusqu’au bout”.(L’enterrement) “ Carla, une femme de gauche mais très à droite pour être au centre de l’attention. ” (Le cocktail mondain) “ Après la vache folle, la grippe aviaire, la grippe porcine ! Encore un coup monté par les poissonniers. ” (La bouchère)

 

Le site officiel d'Anne Roumanoff

 

Lien Wikipédia - Anne Roumanoff

 

 

1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 19:45
 

 Depuis

 plus de 50 ans,

Le Don Camilo

est le temple

de l’humour et

de la gastronomie.

 

 

 

Tout le monde apprécie le talent de Serge Lama, Thierry le Luron, Pierre Peret, Jean Amadou ou Jean Roucas.

 

Tous ces artistes ont débuté au Don Camilo et plus récemment Laurent Gerra, Pascal Bruner, Laurent Ruquier, Michel Leeb et bien d'autres ...

 

Dans tous les cas, la gastronomie était et sera toujours au programme. Notre chef, Michel Charon, sait bien qu'il n'est pas de véritable fête sans une table de qualité.

 

Retrouvez la magie de nos spectacles …

 

 

Ce sacré « Don Camilo » a toujours vingt ans, comme beaucoup d’aficionados de la rue des Saints-Pères. Car il a en lui cette jeunesse (éternelle) qui lui donne l’insolence, l’audace, le rire qui fuse et résonne sur ses murs colorés. De son plafond étoilé, il protège les nouveaux talents, timides au départ de leur carrière et qui s’affirment très vite, oubliant leur échec de débutant qui s’efface la notoriété venue. Il donne, généreux, la fièvre du succès aux uns et aux autres grâce aux dizaines de milliers de « dineurs-spectateurs » riant, applaudissant …

 

Heureux mariage entre la salle et la scène dès que le rideau s’ouvre. Avoir toujours vingt ans, malgré les plus de cinquante officiels, c’est tout le charme, l’esprit juvénile, le bonheur de ce Don Camilo qui n’en finit pas de rajeunir. Et je reste persuadé que nos amis qui nous ont quittés sont toujours là parmi nous … les artistes sont éternels. N’est-ce pas, Monsieur Léo Ferré, vous cher brillant Charles Trenet, toi Thierry Le Luron insolemment frondeur, vous la grande Catherine Sauvage et des amis intimes de Jean Constantin Dadzu et encore, et encore ! Vous avez su accompagner de votre talent ceux qui ont continué la route du succès : Philippe Clay, Darry Cowl, Hugues Aufray, Jean Raymond, Henri Tisot, Daniel Guichard, Serge Reggiani, Robert Lamoureux, André Aubert et encore, et encore ? Et tous ceux-là ont laissé une place toute chaude aux amis, Enrico Macias, Pierre Perret, Michel Leeb, Serge Lama, Claude Nougaro, Laurent Ruquier, Laurent Gerra, Parcal Brunner …

 

Tous ces artistes ont le privilège d’avoir été non pas césarisés, non pas moliérisés, non pas victorieux d’une victoire de la musique, mais tout simplement « don camilorisés ! ».

 

Le Don Camilo

1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 19:40

 

http://idata.over-blog.com/3/99/56/40/Musee-police.jpg    

 

Le musée de la préfecture de police

 

Situé dans l’hôtel de police du 5ème arrondissement, le musée retrace l’histoire de la police parisienne du 17ème siècle à nos jours. Les 2 000 pièces présentées, uniques pour certaines, évoquent les événements auxquels la police a pris part, souvenirs de l’histoire de Paris mais aussi de celle de la France.

 

Le musée est organisé en plusieurs espaces dans lesquels les collections sont présentées par périodes, de 1667 à 1945. Quelques espaces sont consacrés à un thème précis. L’histoire de la police est retracée par des manuscrits, des estampes, des portraits, et elle est illustrée par des affiches. Jusqu’au 20ème siècle, celles-ci étaient le principal moyen de faire connaître les règlements de police.

 

L’ancien régime. En 1667, Louis XIV crée la charge de lieutenant de police, dont on peut résumer la mission en trois mots : “netteté, clarté, sûreté”. Premier lieutenant de police, Gabriel Nicolas, seigneur de La Reynie, établit la tranquillité et une relative sécurité dans les rues de la capitale. Ses successeurs multiplièrent les domaines d’intervention de la lieutenance de police, en l’adaptant à l’évolution de la vie parisienne, notamment aux problèmes de circulation.

 

L’époque révolutionnaire. Devant l’effervescence qui règne dans Paris le 13 juillet 1789, des volontaires forment spontanément une garde bourgeoise, que Lafayette, élu commandant, baptise Garde Nationale. La police est dans un premier temps confiée à la municipalité parisienne. Par la suite, d’autres décisions complétèrent la réorganisation de la police parisienne : institution de 48 commissaires de police (1 par section) et création du corps des officiers de paix.

 

De 1800 à nos jours. Bonaparte crée à Paris la fonction de préfet de police mettant fin à l’instabilité qui caractérisait la police durant les dernières années révolutionnaires. L’arrêté du 12 Messidor an 8 (1er Juillet 1800) précise les attributions du préfet de police, responsable de la sécurité dans l’acception la plus globale du terme. Le préfet de police de Belleyme crée en 1829 la première police en uniforme : les sergents de ville. L’avant-dernière partie du musée est consacrée au crime et à sa répression aux 19ème et 20ème siècles, avec une salle consacrée aux débuts de la police scientifique. La visite se termine sur la période de l’Occupation et de la Libération.

 

Le Musée de la Police

1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 19:35

 

Pour Noël 2010,

la Famille Bouglione

vous propose

 

« PRESTIGE »

 

au Cirque d'Hiver

 

Un spectacle époustouflant dans un lieu magique ! Lions, chevaux, trapézistes, clowns ... la crème des artistes internationaux a été sélectionnée pour vous présenter ce nouveau spectacle ... de prestige !

 

 

LIONS. De plus en plus rare sur les pistes internationales, le Roi des animaux nous fait cette année l'honneur de sa présence. Le Cirque d'Hiver a en effet souhaité renouer avec la plus pure tradition en orchestrant le grand retour du chouchou des enfants, et Sa Majesté sera sans conteste l'invité très remarqué de 'Prestige' ! Un numéro où se mêlent sauts variés, fausses attaques et chorégraphies impressionnantes, pour le bonheur des petits... et le frisson des plus grands ! D'abord montrés dans les ménageries de fêtes foraines, puis présentés pour la première fois à un public de cirque dans les années 1830, les lions ont toujours exercés une fascination sur la population, avide d'exotisme et de frissons. FUNAMBULES. MAGIE. CLOWNS. CHEVAUX. Le cirque tient sa piste ronde de l’art équestre. Alors forcément, le cheval est un peu l’emblème du cirque et la famille Bouglione ne peut concevoir un spectacle sans sa présence. SANGLES AERIENNES. ROLLER ACROBATIQUE. ACROBATES. Formés à la rude école du Cirque de Moscou, ils ont su moderniser avec talent les disciplines qu’ils nous présenteront tout au long du spectacle … Au sol, ou dans les airs, ils réalisent avec fougue des acrobaties stylées digne des grandes créations des pays de l’est. HULA HOOP. CHIENS & CHATS. CERCEAU AERIEN. Etc … LA BARRIERE. Encore appelée garçons ou filles de piste, la Barrière du Cirque d'Hiver est surprenante d'efficacité. L’ORCHESTRE. Nos sens ne sauraient être comblés sans la tantôt douce et tantôt percutante partition des cuivres et des cordes qui constituent l’orchestre de 12 musiciens du Cirque d’Hiver.

 

Le Cirque Bouglione

1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 11:00

  

  

Chef de file du mouvement Hard-Bop dans les années 60, Horace Silver est un des grands musiciens/ compositeurs de l’histoire du jazz.

 

Le pianiste Stephen Binet s’entoure de musiciens de la scène jazz parisienne et crée un Quintet singulier (avec saxophone alto et trombone) pour faire vivre cette musique, empreinte de tradition et de modernité, à la fois énergique et délicate, influencée par le blues, le gospel et le rythm and blues.

 

La gaieté et le plaisir que nous donne à entendre cet ensemble à la dimension musicale infinie et maîtrisée est multiplié par cinq pour faire vibrer le public dans la salle. La richesse de leur formation et leur connaissance du répertoire classique architecturent un univers musical d'une intelligence aiguë. Le jeu unique de cet immense pianiste qu'est Stephen Binet et le sens du swing de ces artistes complices par l'amour de la musique, nous promet encore un concert exceptionnel par les nouveaux Jazz Messengers de Paris ! Pour votre plus grand bonheur, un concert indispensable à ne pas manquer.

   

 

Stephen Binet, pianiste de Jazz

  

 

Horace Silver, sa vie, son oeuvre

 

   "Je n'ai pas de problème avec les personnes qui expérimentent pour autant que
le jazz ne devienne pas si dilué et si distant que la tradition soit perdue.
Je pense qu'il est important de veiller à ce que la musique reste pure
de telle façon que les grandes contributions de Pres, Diz, Miles et Monk
peuvent continuer à vibrer et à rester vivantes."


Horace Silver in Down Beat, 1997

1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 10:30

 

http://idata.over-blog.com/3/99/56/40/The-a-la-menthe---Affiche.gif THE A LA MENTHE OU T’ES CITRON ?

 

C’est l’histoire d’une troupe de comédiens qui répète un boulevard classique avec le cocu, l’amant dans le placard et les quiproquos attendus. Tout le monde est un peu à linkcôté de la plaque, les techniciens, la metteur en scène, les acteurs et surtout un jeune premier imposé, débutant, timide et gaffeur. Le trac monte, la mémoire fait encore défaut, les égos sont en émoi … la répétition le montre il y a encore du boulot. Le soir de la première … ça tourne au délire : d’imprévus en gags inattendus, les acteurs entrainés dans une folie vertigineuse n’ont plus qu’à se donner rendez-vous aux saluts.

 

 

http://idata.over-blog.com/3/99/56/40/The-a-la-menthe.jpg  

 

1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 10:00

   

 

 

1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 09:30

 

  

 

Le musée de l’Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort est l’un des musées les plus anciens de France, héritier du cabinet du roi créé en 1766 dans la seconde école vétérinaire au monde.

 

Ce musée a traversé les siècles, les révolutions et les guerres pour vous présenter un patrimoine exceptionnel dédié aux animaux, conservé dans un lieu fascinant.

 

 

     

 

 

Le cabinet du Roy & le cabinet d'Alfort (1766-1828). C’était alors un cabinet d'histoire naturelle et d'anatomie comparée alimenté par les travaux pratiques des étudiants : " Les préparations qui seront faites dans les Ecoles, seront déposées dans un Cabinet consacré à la gloire de sa Majesté, et à perpétuer les preuves de la reconnaissance des Ecoles et des Agriculteurs envers Elle. Ce Cabinet sera nommé, dans chacune d’elle, le Cabinet du Roi ; l’inspection en sera particulièrement confiée au professeur d’Anatomie." Ce Cabinet fut, dès sa création, accessible au public et les « étrangers » à l’Ecole pouvaient y être amenés en visite. La qualité des pièces qui s’y accumulèrent rapidement lui valut une notoriété dans toute l’Europe et nous disposons de descriptions très précises qui furent faites à cette époque. Les débuts du cabinet sont marqués par le nom d’Honoré Fragonard, premier directeur et premier professeur d’anatomie de l’école, auquel on doit des écorchés toujours présentés aujourd’hui.

 

Le cabinet des collections (1828-1902). Ce cabinet fut déplacé vers un nouveau bâtiment construit à partir de 1829. Sa surface s’en trouva accrue et il accueillit de nouvelles collections notamment de pathologie qui décidèrent l‘administration à lui donner le nom de cabinet des collections. Il ne semble pas que le public y ait été accueilli ; le cabinet fonctionnait plus comme une sorte de réserve organisée à des fins d'enseignement ; les professeurs venaient y prélever des pièces qui servaient ensuite à la démonstration en amphithéâtre. Le très fort développement de l'école d'Alfort au XIXème siècle, sa participation aux grands mouvements scientifiques comme la physiologie expérimentale ou encore les développements de l'infectiologie précédant et contemporains de l'épopée pasteurienne, participèrent au renforcement de son aura et se traduisirent pas une augmentation significative de ses collections. Le cabinet des collections devint, à partir des années 1860, trop étroit pour accueillir l'ensemble des collections. Il fut donc décidé en 1882 de créer un troisième cabinet.

 

Le nouveau musée (depuis 1902). Il fut aménagé en 1900 et ouvrit ses portes en 1902 en prenant le nom de « musée ». Il occupait une surface de plus de 700 m² et était organisé de façon très pédagogique. Ce nouveau musée était à la fois un outil pédagogique et un moyen de communication. Il servait aux élèves le jeudi après-midi qui venaient y apprendre l'anatomie et la pathologie. Mais c'était également un lieu destiné à montrer aux étrangers la puissance de l'école. L’ensemble du musée était peint de couleurs sombres, parfaitement en harmonie avec les fonds des moulages qui ornaient les vitrines, et les plafonds étaient décorés de motifs de feuillage et de motifs géométriques, ce qui renforçait la beauté du lieu. Dès les années 1920, les étudiants se firent de plus en plus rares au musée et son ouverture fut réservée aux visiteurs de marque que l’on souhaitait honorer en les faisant pénétrer dans ce lieu caché.

 

Le musée aujourd'hui. Le musée resta fermé au public jusqu'en 1991, date à laquelle il rouvrit ses portes et connut très vite un grand succès. Il a été rénové en 2008 et accueille désormais les visiteurs dans le cadre qui était le sien en 1902.

 

 

Le Musée de l'Ecole Vétérinaire 

 

  

 

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