Un fil à la patte
de Georges Feydeau
Mis en scène par Anthony Magnier
Avec les comédiens de Viva la Commedia
Pourquoi monter le Fil ? L’intention est simple, pure et directe : pour rire et faire rire. Une merveille, voilà la réflexion qui vient tout de suite après la lecture d’Un fil à la patte.
Feydeau nous fait rire de ce qui nous terrifie. Il met en scène les bassesses et les médiocrités humaines, ces endroits retranchés dans lesquels les hommes et les femmes se réfugient lorsque les situations les dépassent. Feydeau met ses personnages au pied du mur, ils n’ont d’autres choix que de devenir féroces les uns avec les autres.
Et c’est cela qui agit comme une déflagration comique. Pas de grandeur chez Feydeau, ses personnages balayent toute morale, toute éthique, toute valeur pour leur propre intérêt.
Feydeau est l’auteur de la Belle Époque, il décrit les mœurs de la fin du 19ème siècle, une période qui aime les costumes amples, colorés, les hommes en frac, les femmes (surtout les cocottes) en robes amples. La création scénographique va dans ce sens.
Un grand classique du rire. Synopsis.
Fernand Bois d’Enghien, noceur de la Belle Époque, avenant et beau parleur, est l’amant volage de Lucette Gautier, chanteuse de café-concert, elle-même follement aimée d’un nouveau riche, le général mexicain Irrigua. Mais Bois d’Enghien doit rompre, car, par opportunisme, il va signer, l’après-midi même, son contrat de mariage avec Viviane Duverger, jolie jeune fille bien dotée.
Madame la baronne Duverger, la mère de Viviane, le veut comme gendre. Peut-être aussi le veut-elle, tout court, elle dont l’œil lubrique pétille devant cet adepte de la luxure. Quant à Irrigua, il veut s’offrir Lucette, projet approuvé par Bois d’Enghien qui peine à lui annoncer sa rupture. Par lâcheté, il se retrouve dans une situation inextricable, avec une pléiade de personnages cocasses et décalés, dont l’inénarrable Bouzin, auteur de chansons qui veut en donner une à Lucette, et toute une galerie de faux bourgeois et de vrais casse-pieds.
Dossier de Presse
Située dans le 14ème arrondissement, en face du Parc Montsouris, la Cité Internationale Universitaire de Paris est un vaste site qui abrite un grand parc ouvert au public et près de 40 maisons destinées à accueillir des étudiants du monde entier. Une véritable ville dans la ville.
Un lieu pour la Paix. Dès sa création, les fondateurs de la Cité Internationale souhaitaient contribuer à la construction d'un monde de paix en créant un lieu dédié aux échanges internationaux. Aujourd'hui encore ces valeurs animent la Cité.
Un lien incontestable. C'est une fondation privée, reconnue d'utilité publique depuis 1925 et étroitement liée aux universités de Paris, propriétaires des bâtiments. Depuis le Moyen-Age, l'université de Paris a toujours accueilli des étudiants du monde entier. Dans ce que l'on appelait autrefois le « Collège des Nations ». Lorsque la Cité Internationale Universitaire de Paris a été créée en 1925, elle a repris cette tradition des universités parisiennes : une tradition d'accueil. La Cité lnternationale Universitaire de Paris joue un rôle central dans la politique d'accueil des étudiants en mobilité internationale en Ile-de-France.
>>> La Cité Internationale Universitaire de Paris, lieu de vie unique au monde,
accueille 12 000 étudiants et chercheurs de 140 nationalités différentes !
La Cité Internationale est dotée d’un patrimoine architectural bâti exceptionnel, caractérisée par la diversité des styles, qui mêlent références nationales et courant moderniste. Construites entre 1925 et 1969, les maisons de la Cité lnternationale témoignent de la diversité architecturale du 20èmesiècle. Une architecture par maison et par pays ! Cinq Maisons sont protégées au titre des Monuments Historiques. Les aménagements intérieurs ont été confiés à des artistes renommés.
La première résidence de la Cité Universitaire a été inaugurée en 1925 et porte le nom de son donateur : Emile Deutsch de la Meurthe, qui souhaitait « Contribuer à l'entente entre les peuples en favorisant les amitiés entre les étudiants, chercheurs et artistes du monde entier. ». La dernière maison fut achevée en 1969 : c'est la maison d'Iran. Cette construction progressive, s'étalant sur plusieurs dizaines d'années, crée un ensemble hétérogène, qui regroupe divers courants. C'est pourquoi la cité est un espace riche pour qui s'intéresse à l’architecture, à l'urbanisme et à l'histoire de Paris. Le bâtiment principal est une mini réplique du Château de Fontainebleau ; la Maison du Brésil et la Fondation Suisse ont été conçues par Le Corbusier. Plusieurs résidences de la Cité ont été imaginées par d'illustres architectes. Les 34 hectares du parc constituent une balade agréable et originale. Ses allées bordées d'arbres sont un beau lieu de promenade ...
Le Parc Montsouris. Lieu de détente favori des étudiants de la Cité Universitaire voisine, il abrite 1 400 arbres souvent centenaires, de vastes pelouses accessibles et une ribambelle d'oiseaux.
Créé sous l'impulsion de Napoléon III, le projet fut confié au baron Haussmann. L'empereur voulait alors doter d'un espace vert chacun des points cardinaux de Paris, ce qu'il réalisa, mais après la chute du second Empire. Bois de Boulogne et de Vincennes à l’Ouest et à l’Est, et pour le Sud et le Nord, création de deux grands parcs : Montsouris et les Buttes Chaumont.
Pour le Sud, ce vaste projet donna naissance à un jardin à l'anglaise de 15 hectares et de 1,5 km de circonférence. Le Parc Montsouris garde encore aujourd'hui les marques de son passé par ses forts dénivelés. En créant le parc Montsouris, Napoléon III voulait s'inspirer des parcs londoniens. Les espaces verts y jouaient un rôle d'importance; ils étaient considérés comme des lieux de rencontre où se mêlaient toutes les classes sociales, une vision très moderne qui prévaut encore et plus que jamais aujourd'hui.
Le Parc Montsouris est le lieu de détente favori des étudiants et chercheurs de la Cité Internationale Universitaire de Paris, voisine, qui profitent dès les beaux jours des larges pelouses accessibles au public, et de l'ombre de ses 1 400 arbres, souvent centenaires, et pour la plupart remarquables. Il suit un tracé trapézoïdal composé de trois vastes pelouses plantées de bosquets et séparées entre elles par trois ponts. Les anciennes voies ferrées sont dissimulées dans des ravins entourés d'arbres. Son paysage est ponctué de nombreuses sculptures en bronze ou en pierre.
Les canards et les cygnes sillonnent le lac en permanence. Le parc attire un grand nombre d'espèces d'oiseaux : sittelle torchepot, mésange huppée, geai des chênes ... Ils trouvent refuge dans les nichoirs disposés à leur intention sur la petite île, qui reçoit aussi la visite de tortues de Floride (espèce carnassière) apportées il y a quelques années par la SPA, après avoir été abandonnées par des acheteurs peu scrupuleux.
Bienvenue au Paradis Latin ! Le célèbre Cabaret Parisien se situant au cœur du Quartier Latin, à quelques pas de Notre-Dame et du Panthéon. Construit par Gustave Eiffel en 1889 et classé au patrimoine historique de la capitale, le Paradis Latin présente sa nouvelle revue « Paradis à la Folie ! » et accueille des artistes prestigieux que l’on vient admirer du monde entier. Un cocktail fabuleux de tableaux entraînants, des attractions spectaculaires, un French Cancan époustouflant ! Une revue pétillante, une cuisine et un service de qualité vous garantissent un moment unique et inoubliable dans le plus Parisien des Grands Cabarets.
La Revue du Paradis Latin. Vous allez découvrir l’univers extravagant et drôle d’un jardin magique où règnent joie et bonne humeur ! Laissez-vous entraîner dans une farandole de tableaux, pleins de surprises, de gaieté ! Des manèges enchantés, des bals masqués, des comédies musicales à grand spectacle des ballets modernes dans la tradition des revues parisiennes et sans oublier l’incontournable French Cancan !
Un spectacle avec plein d’humour typique de la rive gauche. Des filles belles, jeunes et sexy, des danseurs de charme et un maître de cérémonie très Dandy vous feront passer un moment de rêves dans les jardins du Paradis. Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie !
Belgique & Pays Ch’ti
Mini-Croisière Belgique & Week-End Nord
Association Sorties Pour Tous – Dimanche 18 Mai 2014 – Privatisation
Croisière « Boucle de Seine Suite »
Mantes-la-Jolie – Mantes-la-Ville – Porcheville – Gargenville – Flins-sur-Seine – Juziers
– Mézy-sur-Seine – Les Mureaux – Meulan-en-Yvelines – Vaux-sur-Seine – Triel-sur-Seine
– Verneuil-sur-Seine – Vernouillet – Villennes-sur-Seine – Poissy – Carrières-sous-Poissy
– Achères – Andrésy – Conflans-Sainte-Honorine – Herblay – La Frette-sur-Seine
L’Aval de « notre » Boucle de Seine – « Yvelines sur Seine »
Grande Croisière Traversée du Département
Mantes-la-Jolie. Ville Royale, au même titre que Versailles, Rambouillet ou Saint-Germain-en-Laye. L’histoire de la ville est en effet liée à celle des rois de France. Le Comté de Mantes fut réuni au domaine royal par Louis VI Le Gros. Après avoir vaincu son frère Philippe, il prit la ville d’assaut, aidé par les habitants. En récompense, il octroya aux Mantais une charte communale en 1110. Philippe Auguste mourut à Mantes en 1223. Blanche de Castille et son fils le roi Louis IX, firent à Mantes de longs séjours. Plus tard, Henri IV y rencontre sa favorite, Gabrielle d’Estrées. … … …
La Collégiale de Mantes. Superbe bâtiment gothique des 12ème et 13èmesiècles, en bord de Seine. Classée Monument Historique, elle est avec la Collégiale de Poissy l’un des plus beaux sites religieux des Yvelines. Petite sœur de Notre-Dame de Paris, elle fut commencée vers 1150, et achevée vers 1350. La tour sud fut construite vers 1250 et la tour nord vers 1510.
Cette église ressemble beaucoup à Notre-Dame de Paris par le style et par son élévation sur trois niveaux. C'est une nef simple, encadrée de bas-côtés, sans transept, qui se termine par une abside entourée d'un déambulatoire et de neuf chapelles rayonnantes construites aux 13ème et 14èmesiècles. La façade orientée vers l'ouest est percée de trois grands portails sculptés surmontés d'une rosace. Cette disposition s'inspire du modèle de la cathédrale de Laon.
Magnifiques vitraux, la grande rose de Mantes est l'une des plus anciennes de France. Les plus anciens panneaux remontent aux environs de 1210. Elle représente le jugement dernier. L'oculus central est occupé par une mandorle où trône le Christ juge, se détachant sur un fond bleu peuplé d'étoiles rouges. Il est entouré d'un chœur d'anges dont les bustes ailés sortent des nuées. Le premier cercle, qui obéit à un axe de symétrie vertical, est celui des anges et des intercesseurs. Le fond bleu des quadrilobes figurés s'oppose au rouge sur lequel se détachent les rinceaux décoratifs qui complètent chaque compartiment.
L'orgue Merklin, un orgue d'exception. Construit en 1897 par Joseph Merklin, l'un des plus célèbres facteurs de l'époque, l'orgue symphonique est l'un des derniers en Europe. Seuls quatre sur les 400 construits à travers le monde sont encore en état de fonctionnement, dont celui de Mantes-la-Jolie qui vient d'être restauré à l'identique.
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Eliane a créé l'Association, il y a une vingtaine d'années, par hasard ... Au départ, un groupe de copines, devenu de plus en plus grand, ... de bouches à oreilles, de sorties en sorties, l'Association s'est développée ... Suite ...